Ce vendredi matin 13 décembre, la capitale haïtienne Port-au-Prince s’est réveillée au son de tirs nourris. Plusieurs quartiers, dont Nazon, Avenue Poupelard et Bas Delmas, ont été particulièrement touchés par les violences.
Face à cette situation préoccupante, la vie quotidienne a été perturbée. Certaines écoles, craignant pour la sécurité des élèves et du personnel, ont préféré garder leurs portes fermées, paralysant ainsi une partie du système éducatif.
Ces événements reflètent une fois de plus l’insécurité grandissante dans la région. Les habitants, pris dans cette escalade de violence, espèrent des mesures urgentes pour ramener le calme.